Avocat inscrit depuis février 1998 au Barreau de NARBONNE, j’ai commencé comme collaboratrice au sein de la SCP MOULY ASSOCIES et dès 2001, j’ai été associée de ce cabinet devenu plus tard la SCP HABEAS AVOCATS ASSOCIES.
J’ai donc acquis une grande expérience dans tous les domaines du droit privé durant ces nombreuses années, je me suis plus particulièrement occupée du contentieux du droit de la famille, du droit du travail, des baux d’habitation ainsi que de la réparation du préjudice corporel.
En début d’année 2024, j’ai fait le choix de m’installer seule pour pouvoir continuer à travailler dans ces domaines qui me tiennent à cœur, où l’humain doit avoir toute sa place.
Pour cela, une structure plus petite, à taille humaine, me semblait plus adaptée.
J’aime passer du temps avec le client, surtout lors du premier rendez-vous, pour cerner, au-delà du problème pour lequel il vient me rencontrer, une problématique plus générale de son histoire, qui peut parfois aboutir à une solution raisonnée sans que le juge n’ait à trancher.
Cette méthode de travail correspond à ma vision de la profession d’avocat qui doit être avant tout d’aider son client ; cela passe donc nécessairement par l’écoute et le conseil.
Il est en effet important de mettre en confiance le client, prendre le temps d’expliquer la procédure à entreprendre, afin souvent de lever ses angoisses et rechercher si d’autres solutions, en dehors de l’institution judiciaire, sont possibles.
En 2018, j’ai suivi une formation dans le cadre de l’INSTITUT DU DROIT DE LA FAMILLE ET DU PATRIMOINE (IDFP) sur les nouvelles méthodes de résolution des conflits ; je suis ainsi formée à la procédure participative qui empreinte les méthodes de la médiation tout en permettant aux parties d’être acteurs du processus de recherche de la solution à leur conflit.
De plus, par mon écoute et mon expérience, j’essaye d’étayer le plus possible le dossier avec le client, afin que son histoire personnelle soit lue dans son entièreté et considérée par les magistrats car il est souvent impossible de fournir tous les détails lors des plaidoiries.
Cette méthode, si elle est parfaitement adaptée au droit de la famille est aussi applicable au droit du travail dont la dimension humaine est souvent au cœur du conflit, mais aussi au contentieux entre bailleurs et locataires ou encore en matière de réparation du préjudice corporel car très souvent, au-delà de l’indemnisation, la victime a besoin de raconter son histoire, son accident, son traumatisme.